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Les derniers Skuds des skuateurs





"Le lune luit dans la nuit.
Elle pourfend,
Les ténèbres tapis,
Inquiétant.

Masquant de son éclat,
Ses voisines si lointaine.
Ce n'est pas de son choix,
si ce soir elle est pleine.

Ce miroir de l'astre,
Donne à la mer son harmonie,
Provoquant des désastres,
et nourrissant avec parcimonie.

Reflet... Reflet... d'où te vient cette lumière?
Celle qui depuis si longtemps nous inspire l'amour?
Reflet... Reflet... D'où te vient cette lumière?
Celle qui dans le noir, tant de fois vint a mon secours?

Au bord de ce lac où seul elle m'a laissé,
Tant d'heures je suis rester à te regarder,
Yeux dans les Cieux...
M'emportant à plus de mille lieux...

Voyant dans ta clarté la lueur,
éclairant le fond de mon coeur,
Un moment lucide et dénudé,
Quand le silence est observé.

Entends-tu les gouttes de cette plaie?
L'Harmonie au dessus du vacarme,
De cette furieuse tempête des larmes?
La vaine complainte de l'incomplet?

Dans l'eau se propage l'onde.
Le reflet sous les vagues s'efface,
Sensation de l'âme profonde,
En toi, fort de l'assise, reprend place."
[ N H 3 ]
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Demain tu peux,
Être avec nous!
Winx, si tu me tiens bien la main,
Nous aurons tout les pouvoirs,
Nous battrons en forgeant notre destin!
Winx, un sourire et tout s'éclaire,
Il nous donnera l'espoir et la force de voler vers la
lumière!
Si tu le veux
Demain tu peux,
Être avec nous!

Quand le ciel flamboie d'un rayon de magie.
C'est l'aventure qui commence tout près des étoiles.
Moi, je m'élance dans l'espace infini,
le temps n'existe plus, mes rêves se dévoilent.
Tout là-haut dans le ciel!

Winx, si tu me tiens bien la main,
Nous aurons tout les pouvoirs,
Nous battrons en forgeant notre destin!
Winx, nous partageons le meilleur,
Sur les chemins de l'espoir, En laissant toujours parler
notre cœur!
Winx...La magie des Winx...
Viens éclairer la Terre...
De milliers d'étoiles de lumière,
C'est la magie des Winx!
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"Dans les ténèbres de l'ennuie,
Une lueur éclaire cette esprit.
Dans cette éternel soir,
Elle se laisse parfois voir.

Qu'y a-t-il donc dans cette immensité,
Quelle y appelle toute l'humanité ?
N'est-ce qu'un rêve,
Qui jaillit en ma sève ?

Du haut de l'arbre millénaire,
Dans la quiétude de la cime,
Les questions devissèrent,
Mes entrailles en larges abîmes.

Ces crochets ainsi plantés dans ma chaire,
Ne forme qu'un écho révélant l'étendue d'un désert.
Plongé dans un silence qui ne répond,
Cette souffrance n'elève aucun son.

S'embourbant à chaque pas,
Dans ce sable au fond de soi,
Peu à peu s'avance une pénombre,
Occultant tout d'un voile si sombre.

Une tension terrible se fait sentir.
Une angoisse d'une absence total
Ces tréfonds continuent à s'obscurcir,
Les paupières se ferment si mal.

Dans la solitude de ce précipice,
L'esprit rencontre l'incompréhension infâme,
Il n'y a rien de plus propice,
Pour trouver l'essence même de la lumière de l'âme.

C'est alors que recouvert de l'obscurité,
Acceptant l'absence et l'immobile ,
Que le silence commence à raisonner,
Et ainsi répond de manière habile.

Ressentir ce bourdonnement,
Une chaleur au centre de soi,
Éclairé de ce point ardemment,
Le paysage s'étendant sous ce roi. "
[ NH3- 2016 ]
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