Ancien membre
Forum Geek culture
Réactions (40) Réagir
Concernant l'électrique : Les batteries seront toujours un problème (il me semble que l'autonomie des batterie est la caractéristique qui évolue le moins comparé à toutes les autres avancées technologiques donc on risque d'attendre quelques siècles avant d'avoir des batteries réellement efficaces).
Et vu que beaucoup de monde semble avoir de fortes attentes pour l'hydrogène : C'est l'un des gaz les plus inflammable qui soit, et certains métaux dont l'acier peuvent absorber l'hydrogène ce qui les fragilise énormément. Sans compter que la production d'hydrogène industrielle est extrêmement gourmande en énergie, donc aussi polluante que les batteries au final.
Doublement dangereux, et polluant en prime.
Donc l'hydrogène, dans un monde utopique, ça serait génial. Mais tout autant que des batteries ou des super-condensateurs dans un monde aussi utopique.
Et vu que beaucoup de monde semble avoir de fortes attentes pour l'hydrogène : C'est l'un des gaz les plus inflammable qui soit, et certains métaux dont l'acier peuvent absorber l'hydrogène ce qui les fragilise énormément. Sans compter que la production d'hydrogène industrielle est extrêmement gourmande en énergie, donc aussi polluante que les batteries au final.
Doublement dangereux, et polluant en prime.
Donc l'hydrogène, dans un monde utopique, ça serait génial. Mais tout autant que des batteries ou des super-condensateurs dans un monde aussi utopique.
Ancien membre
Pour avoir de l'électricité, nous sommes toujours dépendant des centrales nucléaires au lieu d'utiliser des alternatives naturels.. donc contre. La France à rien à foutre de l'écologie.
Puis c'est hyper chiant à réparer tout seul une voiture électrique '-'
Puis concernant les batteries, j'ai souvent vu des clients les faire remplacer après 6 mois à peine voir moins (forcément s'ils prennent de la merde à 1er prix aussi..).
Puis c'est hyper chiant à réparer tout seul une voiture électrique '-'
Puis concernant les batteries, j'ai souvent vu des clients les faire remplacer après 6 mois à peine voir moins (forcément s'ils prennent de la merde à 1er prix aussi..).
- Modifié par
Rubis-Vegan
(
)
Ancien membre
On croirait entendre Claude Allègre parler, @mongreal ! lol
En ce qui concerne le stockage de l’électricité, les avancées technologiques vont HYPER vite. On parle pas de siècles là mais de, au pire, décennies.
Concernant l'hydrogène, pareil. Air Liquide (et beaucoup d’autres dans le monde, hein) maîtrise déjà les problèmes que tu décris (qui sont so 90'). Quant à la production, c'est vrai coûteuse car dépendante d'autres énergies (forcément, comme toute nouvelle technologie non démocratisée, idem le pétrole à l’époque, le nucléaire), des dizaines de sociétés dans le monde se livrent à une rude concurrence pour l'améliorer, la fiabiliser et la rentabiliser, à l'exemple du Plasmalyzer allemand de Graforce (pour n'en citer qu'un). Demain (genre dans quelques années), toutes les stations d'épurations fourniront de l'hydrogène tout en étant autonome en fonctionnement. Faut mettre à jour ton logiciel, je crois.
Même l'armée a déjà développé des prototypes (et en utilise déjà certains car moins bruyants, et on parle là de VBL (véhicules blindés légers), pas de gadgets téléguidés à la con).
C'est pas de l'utopie, mec. C'est l'avenir, le nôtre, pas celui de 2400.
En ce qui concerne le stockage de l’électricité, les avancées technologiques vont HYPER vite. On parle pas de siècles là mais de, au pire, décennies.
Concernant l'hydrogène, pareil. Air Liquide (et beaucoup d’autres dans le monde, hein) maîtrise déjà les problèmes que tu décris (qui sont so 90'). Quant à la production, c'est vrai coûteuse car dépendante d'autres énergies (forcément, comme toute nouvelle technologie non démocratisée, idem le pétrole à l’époque, le nucléaire), des dizaines de sociétés dans le monde se livrent à une rude concurrence pour l'améliorer, la fiabiliser et la rentabiliser, à l'exemple du Plasmalyzer allemand de Graforce (pour n'en citer qu'un). Demain (genre dans quelques années), toutes les stations d'épurations fourniront de l'hydrogène tout en étant autonome en fonctionnement. Faut mettre à jour ton logiciel, je crois.
Même l'armée a déjà développé des prototypes (et en utilise déjà certains car moins bruyants, et on parle là de VBL (véhicules blindés légers), pas de gadgets téléguidés à la con).
C'est pas de l'utopie, mec. C'est l'avenir, le nôtre, pas celui de 2400.
C'est de la merde tu payes de l'électricité fabriqué avec du nucléaire dans une voiture qui a une autonomie net un temps de recharge absolument catastrophique et le coup d'une voiture électrique en fabrication fait qu'elle est rentable au bout de 3-5a's
Hyper vite ? Les batterie d'aujourd'hui, à volume et technologie égale, n'ont même pas 25% d'autonomie de plus qu'il y a 5 ou 10 ans, alors que n'importe quel autre domaine (l'informatique par exemple) double presque ses performances dans le même laps de temps. Alors, oui, ça va vite quand on le compare aux premières batteries, mais ça reste ridicule. A moins que tu ne parles de piles à combustible, où là effectivement, on progresse vite, mais il faudrait des planchers de voiture qui résistent à quelques 300 à 800 °C, vu que c'est généralement les températures de fonctionnement des piles à combustible les plus efficaces.
Ne t'inquiète pas, j'ai l'occasion de côtoyer de près des bouteilles d'H2 cinq jours par semaine. Des bouteilles venues d'Air Liquide d'ailleurs, mais ce sont des teneurs si faibles que même en ouvrant une bouteille à fond, la dilution de l'hydrogène le rend inoffensif. D'un autre côté, avec une pareille bouteille, tu aurais sans doute une autonomie en voiture à peu près similaire à celle des meilleures électriques, et le coût doit être comparable également.
Oui, l'industrie utilise de l'hydrogène sans problème. Parce que les installations étant fixes, on peut se permettre de fabriquer des machines plus lourdes, et plus fiables. L'hydrogène, de par sa taille, à tendance à fuir à la moindre petite occasion, et pour prévenir les risques d'incendie, la méthode utilisée, c'est la torche : Pour éviter qu'il n'y ai incendie ou explosion, tu brûles en continue une fuite fixe d'hydrogène, ce qui évite que celui-ci ne puisse se diluer et former une quantité suffisante pour être dangereuse.
Je te trouve un peu catégorique alors que, foncièrement, je suis pour le progrès.
Quant à la production d'hydrogène, si tu es si optimiste, pourquoi ne pas juste parler de l'hydrogène naturel qu'on trouve de manière quasi abondante un peu partout dans le monde ? Et si on est à ce point en train de chercher à faire évoluer cette filière, où sont donc les investisseurs pour utiliser ces sources là ?
Pour ce qui est d'avoir un logiciel à jour, ça fait très longtemps que les moteurs à hydrogènes sont sur les tables à dessins et sur des véhicules de tests, et à l'heure actuelle, l'électrique m'a l'air plus proche de réussir que ceux-là. D'ailleurs, ne serait-ce que pour le rendement, un moteur électrique est largement supérieur à tout ce qui utilise un quelconque combustible, donc autant se concentrer là dessus plutôt que de disperser des moyens et des efforts dans plusieurs projets concurrents parallèles.
Ne t'inquiète pas, j'ai l'occasion de côtoyer de près des bouteilles d'H2 cinq jours par semaine. Des bouteilles venues d'Air Liquide d'ailleurs, mais ce sont des teneurs si faibles que même en ouvrant une bouteille à fond, la dilution de l'hydrogène le rend inoffensif. D'un autre côté, avec une pareille bouteille, tu aurais sans doute une autonomie en voiture à peu près similaire à celle des meilleures électriques, et le coût doit être comparable également.
Oui, l'industrie utilise de l'hydrogène sans problème. Parce que les installations étant fixes, on peut se permettre de fabriquer des machines plus lourdes, et plus fiables. L'hydrogène, de par sa taille, à tendance à fuir à la moindre petite occasion, et pour prévenir les risques d'incendie, la méthode utilisée, c'est la torche : Pour éviter qu'il n'y ai incendie ou explosion, tu brûles en continue une fuite fixe d'hydrogène, ce qui évite que celui-ci ne puisse se diluer et former une quantité suffisante pour être dangereuse.
Je te trouve un peu catégorique alors que, foncièrement, je suis pour le progrès.
Quant à la production d'hydrogène, si tu es si optimiste, pourquoi ne pas juste parler de l'hydrogène naturel qu'on trouve de manière quasi abondante un peu partout dans le monde ? Et si on est à ce point en train de chercher à faire évoluer cette filière, où sont donc les investisseurs pour utiliser ces sources là ?
Pour ce qui est d'avoir un logiciel à jour, ça fait très longtemps que les moteurs à hydrogènes sont sur les tables à dessins et sur des véhicules de tests, et à l'heure actuelle, l'électrique m'a l'air plus proche de réussir que ceux-là. D'ailleurs, ne serait-ce que pour le rendement, un moteur électrique est largement supérieur à tout ce qui utilise un quelconque combustible, donc autant se concentrer là dessus plutôt que de disperser des moyens et des efforts dans plusieurs projets concurrents parallèles.
- Modifié par
Mongreal
(
)
Ancien membre
@mongreal Oui, évidemment que je parle de pile à combustible, pas "moi", d'ailleurs, mais les constructeurs. C'est vers ça qu'ils vont ; un plan B à l'électrique, en fait. Et je vois pas en quoi c'est un problème de chercher aussi par là des innovations ; c'est même plutôt malin car c'est un déchet (ce qui explique aussi pourquoi l'extraire à l'état naturel ne rime à rien).
J'suis pas technicien, juste je m'informe, et je vois bien ce qui se fait, ce qui se prépare.
Je me souviens des premières innovations dans l'informatique, puisque tu en parles. J'étais pas né, hein, personne d'ailleurs, haha. On parlait de siècles avant de pouvoir avoir des ordinateurs de tailles suffisamment réduites pour les commercialiser aux particuliers.
Ca a prit quelques décennies, et aujourd'hui un smartphone est sans doute un million de fois plus puissant que le premier ordi (voire un million de fois plus encore, OSEF, tu vois ce que je veux dire).
Le progrès technique, c'est pas un truc constant. Ca fonctionne par bonds. Il suffit d'un éveil des conscience, en l'occurrence le climat, la santé, l'insalubrité des villes, pour que les innovations se multiplient à travers le monde, à vitesse grand V.
La question, c'est pas "quand enfin, on va trouver ?" dans la tête des industriels, aujourd'hui, des chercheurs, mais "est-ce que ça va être moi ?" Car ils savent bien que c'est imminent et que les premiers à proposer quelque chose de commercialisable (donc de sûr et de rentable) seront les futurs rois du monde.
J'suis pas technicien, juste je m'informe, et je vois bien ce qui se fait, ce qui se prépare.
Je me souviens des premières innovations dans l'informatique, puisque tu en parles. J'étais pas né, hein, personne d'ailleurs, haha. On parlait de siècles avant de pouvoir avoir des ordinateurs de tailles suffisamment réduites pour les commercialiser aux particuliers.
Ca a prit quelques décennies, et aujourd'hui un smartphone est sans doute un million de fois plus puissant que le premier ordi (voire un million de fois plus encore, OSEF, tu vois ce que je veux dire).
Le progrès technique, c'est pas un truc constant. Ca fonctionne par bonds. Il suffit d'un éveil des conscience, en l'occurrence le climat, la santé, l'insalubrité des villes, pour que les innovations se multiplient à travers le monde, à vitesse grand V.
La question, c'est pas "quand enfin, on va trouver ?" dans la tête des industriels, aujourd'hui, des chercheurs, mais "est-ce que ça va être moi ?" Car ils savent bien que c'est imminent et que les premiers à proposer quelque chose de commercialisable (donc de sûr et de rentable) seront les futurs rois du monde.
@GayUncle Hmm, ce qui me gêne c'est que fondamentalement je ne suis pas en désaccord avec toi mais tu sembles penser le contraire.
Pour le coup, je suis technicien même si l'énergie est loin d'être ma spécialité. Du coup, certaines de tes remarques me font tiquer, et je ne sais pas si c'est ta source qui vulgarise ou utilise une mauvaise terminologie, ou si c'est ton interprétation même si je penche plus pour la première solution, tu sembles plutôt du côté intelligent de l'espèce humaine.
De quel déchet parles-tu ?
Oui, l'informatique à fait d'énormes bond en avant si tu compares un processeur à transistors aux premiers ordinateurs mécaniques. Mais si tu compares le premier véritable processeur aux processeurs d'aujourd'hui, l'avancée est beaucoup moins significative (je tombe sur 6088 fois plus performant avec mes calculs et l'écart le plus grand que j'ai pu trouvé).
Bon, je sais que tu utilises l'exagération pour expliciter ton argument, mais le soucis, c'est que les processeurs ont évolué aussi vite parce qu'on s'en sert énormément tout les jours. Et, une technologie qu'on utilise pas autant, ça serait un argument valable, mais qui n'utilise pas de batteries fréquemment et qui n'a jamais constaté de problèmes en autonomie ? C'est là tout le problème : Du civil au spatial, tout le monde utilise des batteries et pourtant, même si on a fait de gros progrès depuis le plomb, ça reste un des domaines qui a le moins avancé. Et on ne peut pas dire que personne ne travaille dessus avec la quantité de fabriquant ne serait-ce que de smartphone, batteries de secours, et aujourd'hui, voitures électriques. Pour moi, c'est plutôt le problème auquel on est aujourd'hui confronté avec l'informatique : On arrive au bout de ce qu'on est capable de faire physiquement. Comme pour l'informatique où on ne pourra bientôt plus réduire la finesse des gravures (Je crois qu'en civil le record c'est 7nm de gravure pour un processeur graphique) et donc la quantité de transistors présents sans changer complètement de technologie. Même chose pour les batteries (qui ont déjà changé plusieurs fois de technologie ces dernières années avec parfois plus ou moins de succès et de risques).
Je suis d'accord avec toi, mais il arrive souvent que le progrès subisse une halte qui peut s'étendre sur de nombreuses années avant qu'on ne surpasse l'obstacle face auquel on se trouvait. Et parfois, on le dépasse seulement pour être bloqué quelques 5% de performances plus tard par une nouvelle limite "physique".
Du coup, je suis on ne peut plus en accord avec ta conclusion, et pour le coup, même si pas mal des recherches récentes sont encourageantes (processeur à base de graphène au lieu de la silice dans l'informatique par exemple), ce n'est pour l'instant cantonné qu'aux laboratoires et ça reste purement expérimental.
Après, je suis de nature un peu sceptique : Quand on me parle de nanotubes d'or enveloppés de plexiglas, plutôt que d'être follement enthousiaste, j'attends que cela apparaisse sur le marché et que ça soit utilisé. Une nouvelle technologie, c'est bien, mais s'assurer qu'elle reste efficace au bout de quelques années ou qu'il n'y a pas de biais cachés, c'est mieux
Pour le coup, je suis technicien même si l'énergie est loin d'être ma spécialité. Du coup, certaines de tes remarques me font tiquer, et je ne sais pas si c'est ta source qui vulgarise ou utilise une mauvaise terminologie, ou si c'est ton interprétation même si je penche plus pour la première solution, tu sembles plutôt du côté intelligent de l'espèce humaine.
De quel déchet parles-tu ?
Oui, l'informatique à fait d'énormes bond en avant si tu compares un processeur à transistors aux premiers ordinateurs mécaniques. Mais si tu compares le premier véritable processeur aux processeurs d'aujourd'hui, l'avancée est beaucoup moins significative (je tombe sur 6088 fois plus performant avec mes calculs et l'écart le plus grand que j'ai pu trouvé).
Bon, je sais que tu utilises l'exagération pour expliciter ton argument, mais le soucis, c'est que les processeurs ont évolué aussi vite parce qu'on s'en sert énormément tout les jours. Et, une technologie qu'on utilise pas autant, ça serait un argument valable, mais qui n'utilise pas de batteries fréquemment et qui n'a jamais constaté de problèmes en autonomie ? C'est là tout le problème : Du civil au spatial, tout le monde utilise des batteries et pourtant, même si on a fait de gros progrès depuis le plomb, ça reste un des domaines qui a le moins avancé. Et on ne peut pas dire que personne ne travaille dessus avec la quantité de fabriquant ne serait-ce que de smartphone, batteries de secours, et aujourd'hui, voitures électriques. Pour moi, c'est plutôt le problème auquel on est aujourd'hui confronté avec l'informatique : On arrive au bout de ce qu'on est capable de faire physiquement. Comme pour l'informatique où on ne pourra bientôt plus réduire la finesse des gravures (Je crois qu'en civil le record c'est 7nm de gravure pour un processeur graphique) et donc la quantité de transistors présents sans changer complètement de technologie. Même chose pour les batteries (qui ont déjà changé plusieurs fois de technologie ces dernières années avec parfois plus ou moins de succès et de risques).
Je suis d'accord avec toi, mais il arrive souvent que le progrès subisse une halte qui peut s'étendre sur de nombreuses années avant qu'on ne surpasse l'obstacle face auquel on se trouvait. Et parfois, on le dépasse seulement pour être bloqué quelques 5% de performances plus tard par une nouvelle limite "physique".
Du coup, je suis on ne peut plus en accord avec ta conclusion, et pour le coup, même si pas mal des recherches récentes sont encourageantes (processeur à base de graphène au lieu de la silice dans l'informatique par exemple), ce n'est pour l'instant cantonné qu'aux laboratoires et ça reste purement expérimental.
Après, je suis de nature un peu sceptique : Quand on me parle de nanotubes d'or enveloppés de plexiglas, plutôt que d'être follement enthousiaste, j'attends que cela apparaisse sur le marché et que ça soit utilisé. Une nouvelle technologie, c'est bien, mais s'assurer qu'elle reste efficace au bout de quelques années ou qu'il n'y a pas de biais cachés, c'est mieux
Ancien membre
@mongreal Déchets, dans mon exemple (celui des eaux sales, dont on récupère l'hydrogène et qu'on traite en passant) : un 2 en 1, non négligeable voire suffisant, vu tout ce qu'on a à traiter.
Pour l'informatique, je pensais plus à la miniaturisation, en fait, qu'aux performances (6000 fois plus, c'est déjà énorme en passant, et oui j'exagère, haha). Jamais on aurait imaginé la nanotech si proche, à l'époque. Et pourtant, c'est le cas.
Idem avec la biotech, autre sujet.
Je te trouve juste pessimiste, pas fondamentalement en désaccord. J'y connais rien, encore une fois, hein. Je me rends juste compte que partout dans le monde, des chercheurs planchent sur le sujet et tous rivalisent d'innovations, et tous, peu ou prou, promettent des résultats concrets (en ont déjà), au point que des grands groupes (dans mon exemple avec le Plasmalizer, c'est Audi, pour le moment), mais aussi KNDS, AQUUS, GM & co., tant dans le civil que le militaire, investissent énormément dedans.
C'est pourtant pas, pour eux, les réserves d'énergie fossiles qui manquent, le sujet, mais bien une conscience écologique mondiale qui les y pousse (et, comme je l'ai dit, la vision d'une indépendance énergétique).
On s'est jamais autant, mondialement, intéressé aux batteries, au stockage de l'énergie (de façon globale). C'est pas une mode, je crois, mais réellement une nécessité. D'où mon propos : on va, je pense, faire un bond colossal dans les années à venir, et si c'est pas dans ça, ce sera dans la PAC, et à mon avis sans doute les deux.
Ce qui me pousse, aussi, à avancer ça, outre le fait que les industriels et scientifiques eux-mêmes le disent, c'est qu'on est dans une période de forte tension géo-politique - euphémisme pour dire que ça va pas tarder à péter - donc plus qu'une nécessité commerciale, ça va devenir très vite un enjeu vital pour les nations.
Pour l'informatique, je pensais plus à la miniaturisation, en fait, qu'aux performances (6000 fois plus, c'est déjà énorme en passant, et oui j'exagère, haha). Jamais on aurait imaginé la nanotech si proche, à l'époque. Et pourtant, c'est le cas.
Idem avec la biotech, autre sujet.
Je te trouve juste pessimiste, pas fondamentalement en désaccord. J'y connais rien, encore une fois, hein. Je me rends juste compte que partout dans le monde, des chercheurs planchent sur le sujet et tous rivalisent d'innovations, et tous, peu ou prou, promettent des résultats concrets (en ont déjà), au point que des grands groupes (dans mon exemple avec le Plasmalizer, c'est Audi, pour le moment), mais aussi KNDS, AQUUS, GM & co., tant dans le civil que le militaire, investissent énormément dedans.
C'est pourtant pas, pour eux, les réserves d'énergie fossiles qui manquent, le sujet, mais bien une conscience écologique mondiale qui les y pousse (et, comme je l'ai dit, la vision d'une indépendance énergétique).
On s'est jamais autant, mondialement, intéressé aux batteries, au stockage de l'énergie (de façon globale). C'est pas une mode, je crois, mais réellement une nécessité. D'où mon propos : on va, je pense, faire un bond colossal dans les années à venir, et si c'est pas dans ça, ce sera dans la PAC, et à mon avis sans doute les deux.
Ce qui me pousse, aussi, à avancer ça, outre le fait que les industriels et scientifiques eux-mêmes le disent, c'est qu'on est dans une période de forte tension géo-politique - euphémisme pour dire que ça va pas tarder à péter - donc plus qu'une nécessité commerciale, ça va devenir très vite un enjeu vital pour les nations.
- Modifié par
GayUncle
(
)
Quand ça roule, c'est très bien, ça polue pas, vitesse raisonnable et ça permet pas mal d'avancer technologiques.
Par contre avant et après c'est pas la même histoire, parce que la, ça polue beaucoup plus, rien qu'à la fabrication, et on ne sait pas comment recycler les batteries, du coup y'en a déjà des millions qui prenne la poussière et qui sont devenu de véritable bombe à retardement écologique.
Il y a beaucoup d'alternatives, mais ils faut prendre le temps de voir ailleurs, hydrogène, moteur à eau, huile de tournesol et de colza, ect.
Par contre je préfère le doux murmure d'un bon V8 ^
Par contre avant et après c'est pas la même histoire, parce que la, ça polue beaucoup plus, rien qu'à la fabrication, et on ne sait pas comment recycler les batteries, du coup y'en a déjà des millions qui prenne la poussière et qui sont devenu de véritable bombe à retardement écologique.
Il y a beaucoup d'alternatives, mais ils faut prendre le temps de voir ailleurs, hydrogène, moteur à eau, huile de tournesol et de colza, ect.
Par contre je préfère le doux murmure d'un bon V8 ^
Ancien membre
Pour les voitures électriques. Il s'agit d'une innovation qui permet de grandes évolution de le monde de la mobilité à l'heure actuelle. Le seul point noir apparait comme étant le recyclage et la durée de fonctionnement des batteries. Par l'investissement, les grands constructeurs peuvent aller au delà des progrès qui ont déjà été réalisés afin d'améliorer toujours plus le matériel existant. POUR
Pour répondre, vous devez être inscrit et connecté.