Petit Texte

~ Vendredi quatorze septembre deux mille dix huit ~

Vendredi quatorze septembre deux-mille-dix-huit,
Ecrire un petit texte
Ne cherchant pas l’insolite
De le faire dans son contexte.
Réveilles-toi et bouges tes fesses
En gardant un sourire gracieux
Devant ta belle princesse
Irrésistible de son regard envieux.

Quatorze heures approche
Une envie de se promener
Attendre que tu te rapproches
Toi que je désire embrasser
O combien Je T’aime
Rien qu’en fixant ton regard;
Zeste d’un reste de poème
Enivre mon cœur d’espoir.

Suivre mon cœur ou ma raison
Esprit mitigé entre vous deux
Partir ou rester de la maison
Terrifié de me retrouve entre eux
Eclaires moi un instant
Me laisse pas seul dans ce choix terrifiant
Berces-moi a l’écho de ta voix !
Restes auprès de Moi !
Embrasses-Moi ! Embrasses-Moi !

Demain dès l’aube à l’heure ou blanchi ma journée
Emmènes-moi au pays du bonheur
Un pays qui reflète un rêve utopique
X formules magiques ! X parfums et d’odeurs,
Me faisant transporter vers une nouvelle destinée
Inexplicable envie de se retrouver sous les tropiques
L’esprit vide, le cœur tout en-charmer
Le temps d’un instant je vis à rêver
Emporté si loin de toute cette réalité.

Dernier jour où je vois la lumière du jour
Incommensurable peine et de douleur
X raisons pour me laissé en pleur
Harmonieuse fin attristé pour toujours
Un oubli pour une fin tragique
Irresponsable de toute cette logique
Terminus obligatoire ! D'un dernier Au-revoir !