"On nous croise dans certains endroits, nous les ados tristes, solitaires, mal dans leurs peau, différents. A tout moment, il suffit de savoir où regarder pour nous trouver : derrière les magasins, dans les ruelles, sous les ponts des canaux et des rivières, autour des garages, dans les hangars, dans les arrière-cours ; on est des milliers - du moins pour qui se donne la peine de nous chercher, parce que ça n’intéresse pas grand monde."
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