Skuat / News
Les derniers Skuds des skuateurs
"Pas à pas,
de galères en galères,
Avec ardeur et foi,
j'avance sur cette terre.
Mon chemin se trace.
Je construit ma place.
Je découvre mon être,
Au delà de tout paraitre.
De blessures en Blessures,
De larmes en larmes,
Au plus profond résident ces gravures,
Sources d'un grand vacarme.
Faute d'envie et d'effort,
Je marche avec ce son dans mes oreilles.
Rappelant tous ces morts,
Mon passée fragilise l'appuie de l'orteil.
Les nuits sont froide.
L'obscurité m'empreigne de ma peur.
Perfide, elle me persuade,
Enfermant ma propre lueur.
Tant de tristes événements,
Des tempêtes sentimentale frappe les mont ascétique,
qui freinent l'avancement,
Sur ce chemin de vie initiatique.
Et finalement, quand l'éclaire jaillit
Et que la force du tonnerre gronde,
Les spectres m'arrête ici
Sur cette désolation qui leur est féconde.
Sans se douter que cette lumière volatile
Empreignent et traversent mes yeux,
L'instant est solennel et sacré des cieux,
Ravive, en l'âme, une flamme fébrile.
Remarquant que dans cette colère divine
Une lueur... Une chaleur... Une douceur...
Marque de son éclat d'amour, qui lui est voisine,
Cette vie perdue dans la nuit en sueur.
Admirant la symphonie du silence,
C'est en harmonie que pensées et sentiments dansent.
Retrouvant la vigueur de mes sens,
Je m'émerveille devant tant de chances!
Il n'existe pas de ténèbres sans lueur.
Dans les mers hostiles il y aura toujours des phare,
De bonnes étoiles gardant les cœurs,
Les abreuvant de leurs aimant espoir. "
[ NH3 - 23/11/2014 ]
de galères en galères,
Avec ardeur et foi,
j'avance sur cette terre.
Mon chemin se trace.
Je construit ma place.
Je découvre mon être,
Au delà de tout paraitre.
De blessures en Blessures,
De larmes en larmes,
Au plus profond résident ces gravures,
Sources d'un grand vacarme.
Faute d'envie et d'effort,
Je marche avec ce son dans mes oreilles.
Rappelant tous ces morts,
Mon passée fragilise l'appuie de l'orteil.
Les nuits sont froide.
L'obscurité m'empreigne de ma peur.
Perfide, elle me persuade,
Enfermant ma propre lueur.
Tant de tristes événements,
Des tempêtes sentimentale frappe les mont ascétique,
qui freinent l'avancement,
Sur ce chemin de vie initiatique.
Et finalement, quand l'éclaire jaillit
Et que la force du tonnerre gronde,
Les spectres m'arrête ici
Sur cette désolation qui leur est féconde.
Sans se douter que cette lumière volatile
Empreignent et traversent mes yeux,
L'instant est solennel et sacré des cieux,
Ravive, en l'âme, une flamme fébrile.
Remarquant que dans cette colère divine
Une lueur... Une chaleur... Une douceur...
Marque de son éclat d'amour, qui lui est voisine,
Cette vie perdue dans la nuit en sueur.
Admirant la symphonie du silence,
C'est en harmonie que pensées et sentiments dansent.
Retrouvant la vigueur de mes sens,
Je m'émerveille devant tant de chances!
Il n'existe pas de ténèbres sans lueur.
Dans les mers hostiles il y aura toujours des phare,
De bonnes étoiles gardant les cœurs,
Les abreuvant de leurs aimant espoir. "
[ NH3 - 23/11/2014 ]
J'ai toujours aimé le côté dramatique du mauvais temps, ses désagréments. Plus c'est catastrophique, mieux je me porte, en quelque sorte.
L'avenir efface tout. Aucun niveau de célébrité ou de génie ne permet de transcender l'oubli. L'infinité de l'avenir rend impossible de compter pour quelque chose.
Sortir de chez soi à 05h du mat pour se rendre à la Gare afin de prendre le train pour aller au travail, marcher tranquillement, entendre une voiture qui foncé à toutes vitesse au loin. Entendre qu'elle se rapproche de plus en plus puis d'un coup, crissement de pneus, freinage fort a ma hauteur, je jette un coup d'oeil a droite et la un mec sort de la voiture, laisse la voiture en plein milieu de la route avec la portuere ouverte.Gros coup de flippe puis je voit sa silhouette me suivre, les bruits de ses pas derrière moi et la grosse panique mon coeur bat à 200 à l'heure je me retourne et la .......... Le mec met une lettre dans une boîte à lettre ouuuuuuf soulager 😂 l'enculer ma fait trop peur 😂😂
Conclusion, tout le monde compte, peut-être moins que beaucoup, mais toujours plus que pas du tout.