mes jours de blancs
J'ai fais un rêve; j'étais assise tout près de lui, lui qui m'avait mis un râteau plus de deux ans plus tôt. Il me souriait, je souriais pour deux. Mon bac blanc de français arrive et je n'ais pas révisé. Alors que j'aurais pu, mais non. Je me suis réveillée le jour suivant sans volonté, comme si elle avait été aspirée, avant même de savoir que j'avais raté mon dm d'anglais (7/20) j'ai faillis chialer. Pleurer pour ça? oui car c'était une sorte d'excuse pour évacuer tout, mais pas en classe.En plus je suis passée sur l'estrade quelques mins pus tard, afin de remonter la note. J'ai pensé à ceux qui m'avaient aidé, à ceux que j'avais cru aimer (mais qui m'ont manipulée, un pour avoir du sexe en cam, on comptait se voir.) j'avais conscience que c'était en grande partie pour des relations sexuelles mais qu'importe, il allait mourir (dysfonctionnement du coeur), il s'intéressé à moi surtout... je me demande s'il est encore en vie? aurais-je la bêtise de le recontacter?
Ce moment sur l'estrade, je l ais bien réussie. Pourtant,je me sentais vide. Parler, sourire me demandaient beaucoup de mon énergie. C'était comme si je pesais des tonnes. Chaque action que je faisais me semblais comme un gaspillage.
Les jours qui ont précédés mon rêve, je m'étais mise en tête de vivre chaque instant, de me les approprier. Je vivais à 200%, mais j'étais très fatiguée en fin de semaine (comme si j'avais dansée sur une piste 7 jours suivant).Je voudrais vivre toujours comme ça. Mais surestimation et aussi dangereux que la sous-estimation de sois. Moi c 'est sois l'un, soit l'autre.Aujourd'hui, c'était aussi un jour de blanc...
C'est fatiguant d'être heureux, car ça se construit.
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[Anonyme]
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