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Demain...

La première fois que j’ai essayé j’avais huit ans. Alors que les autres enfants découvraient « Macaronis tout Garnie » moi je jouais avec la réalité tranchante d’un couteau. J’ai jamais sue pourquoi mais la mort était toujours près de moi. Que ce soit après avoir assisté à la mort en direct de ma meilleure amie où par le manque de tac d’un professeur annonçant le décès d’un proche, j’ai toujours voulue être la prochaine. Après que les événements du genre ce soit multipliés, j’ai décidée de faire face au faucheur mais à chaque fois quelque chose m’arrêtait. Ce n’était pas un sentiment intérieur mais bien hors de mon contrôle. Au fond je me suis mise à croire que même la mort ne voulait pas de moi.

Plus les années passaient plus mes essais devenaient fréquents, plus la douleur devenait passagère, plus la tristesse devenait familière.
Puis un jour, j’ai presque tuées…

À ce moment j’ai perdu toute humanité qui me restait. J’ai perdu les vestiges d’une enfance perdu, les reste de rêve brisés. La douleur ne me fessait plus rien même qu’elle avait finis par faire partie de mon quotidien. Je me suis mise à prendre plaisir du mal,
à espéré la douleur chez l’autre.

Je me suis enfermé dans un tourbillon de noirceur et de brouillard ou au fond dans mes pensées les plus sadiques et séniles j’ai pue me réfugier.

Mais un jour je me suis trouvé une lumière une issue un soleil pour m'éclairer. Des gens simples et banals mais sans aucun mépris. J’étais finalement bien, mais tout le monde sait qu’il ne faut pas aller trop près du soleil sinon on fin pars ce brûler, mais j’ai été con. J’ai été trahi par quelqu’un qui m’avais donnée envie de vivre! Mais aussi vite que je l’ai acceptée dans ma vie aussi vite j’ai été trompée. Une histoire partie sur de la jalousie, une histoire idiote pour un rôle de nounou Mcfee.

Ce soir là j’ai commis l’irréparable mais encore une fois j’ai échappé à la mort, mais ce soir je vais la regarder dans les yeux sur les railles de mon enfance sans même penser à dire adieu.