Ancien membre
Petit Synopsis
Pour ceux qui n'auront pas la flemme de le lire, j'aimerai bien avoir votre avis, même si il est négatif ^^ :Elizebeth COOPER se réveille dans sa chambre, le réveil indique cinq heure du matin. Elle se lève péniblement de son lit, les cheveux en pagaille, elle retire avec un enthousiasme peu prononcé son pyjama. Sa chambre est simple: seulement un lit simple, une petite armoire et un bureau en dessus où elle y pose son pyjama. Une fois habillée d’un jean slim et un t shirt “AC/DC” trop grand pour elle, elle sort de sa chambre et dirige dans sa pièce à vivre, salle à manger, les étagères remplis de livre plus ou moin bien ranger (d’Agatha Christie, de Maxime Chattam, d'Harlan Coben, de Jean-Christophe Granger, de Sarah Loubière et bien d’autre) recouvre les trois murs de la pièce tout en laissant la place à une assez grande télévision avec en dessous son meuble assez grand avec des DVD en tout genre. En face de cette télévision, au milieux de salle, se trouve une table quatre personnes en bois avec des chaises tout aussi simple. Le seule point particulier de cette partie de l’appartement est l’absence de canapé. Elizebeth avance machinalement dans l’espace cuisine, un contoire sépare l’espace cuisine et l’espace à vivre. Elle se remplit un thermos de café, puis retraverse la pièce pour aller dans sa petite salle de bain. Une fois devant le miroire elle rabat ses cheveux négligemment vers l’arrière et se les attachent. Bien qu'Elizebeth ne prends pas le soin de se maquiller, cela n'enlève rien à son charme naturel. Elle sort de la salle de bain, une mine une joyeuse au visage, met son thermos dans son sac à main, enfile sa veste en cuire et sors de son petit appartement du 13ème, juste au dessous du “bomby’s café” traversa la place d’Italie qui est pour l’instant presque vide, pour prendre le métro.
Elizebeth est femme dans de ménage dans le 16ème pour l’agence “shiva”. Elle a trois clients régulier: M. Hercule MALUMONT, M. Jacques LOTZ et M. Joshua SOMMIÈRE qui habite au centre du quartier la Muette. Elle prit la ligne 5 jusqu’à la gare d’Austerlitz pour prendre la ligne 10 pour s’arrêter à la Muette. Après cinq minutes de marche et une heure de métro, Elizebeth arrive chez M.MALUMONT. C’est un homme de soixante-cinq ans, assez enrobé, avec une moustache à la Poirot, il est psychiatre. Il est aussi assez étrange et un bavard. Devant la maison, Elizebeth sort un trousseau de clef et entre sans plus de cérémonie en s’essuyant les pieds. Le couloire tapissé de lignes noires et blanches à en faire mal à tête.Toute maison est toujours rangée, Elizabeth doit juste passer quelques coup de balais, faire la vaisselle, la lessive et astiquer les meubles ainsi que quelque meubles et les reproductions de célèbre statue grecque. Il devait être dix heure et demi passer quand elle a fini de repasser et ranger le linge.
Une fois rentré chez M.LOTZ, Elizebeth un peu tendu, regarde de droite à gauche pour voir s’il est là, comme elle ne détecte aucune présence, elle se décrispe un coup en lâchant un soupir. Jacques LOTZ a cinquante-deux ans, promoteur immobilier, c’est un homme énergique qu’Elizebeth trouve un peu trop insistant… Elle fait son ménage avec son assiduité habituelle, malgré le bazard que le propriétaire remet chaque jour. Elle prend sa pause déjeuner vers quatorze heure pour reprendre à quinze heure pour finir sa journée chez M. SOMMIÈRE.
Elle n’a pas pris la peine de sortir son trousseau de clefs, et entre dans la maison le sourire au lèvre. Après un échange très bref avec le propriétaire des lieux qui la supplier de l’appeler par son prénom: Joshua, elle se commence à se concentrer sur son travail. Joshua SOMMIÈRE a trente-huit ans, née en Amérique à Portland, il est sympathique, souriant et toujours très polie, bien qu’il soit assez excentrique. Il est dix-huit heures et la journée de travail d’Elizebeth touche à sa fin, elle part en disant au revoir à son patron.
Dix-neuf heures trentes et Elizebeth est enfin dans son immeuble, son courrier à la main, elle rentre chez elle et pose ses affaire sur la table à manger. Elle prend son téléphone, commande pour se faire livrer des nouille chinoise et allume la télévision pour regarder les informations. Après l'écoute des grands titre de ce soir, elle se laisse tomber sur une chaise en face de la télé et commence à trier son courrier. Une lettre étrange se distingue du lot de pub, son est inscrit sur celle-ci avec fine et belle écriture. Elizebeth prend la lettre à deux mains et fronce des sourciles. Après une longue contemplation de la lettre, elle se décide avec une délicatesse et un prudence exagérées. Après une lecture minutieuse de la lettre, elle se met à pleurer une fois qu’elle voit une photo d’elle, dénudée en train de dormir dans son lit, prise surement à l’aide d’un drone, et se précipite vers toutes ces fenêtre pour les fermer en regardant frénétiquement de droite à gauche. Elle est en tout ces états, prend la lettre la déchire et la jette. Quand le livreure sonne pour indiquer que son plat est arrivé, elle hurle de peur et se met à terre comme sa vie en dépendait. Prise au dépourvu elle se réfugie dans lit et attend que son sommeil dépasse son angoisse avant de s’endormir.
Quand elle se réveille pour aller au travail, elle est abattu. Le regard perdu exécute avec plus de lenteur ses gestes quotidiens. Elle ne perçois plus rien, si bien qu’elle ne se rends même pas compte qu’elle est sortis et qu’elle se dirige dans le métro. Une fois à l’intérieure elle s’assoie machinalement sur une place disponible, et se met à regarder le vide. L’agitation autour est différente, couleur ne sont plus les même et les formes sont flou sans contoure précis. Elle ne sait pas quoi faire, elle s’est coupé du monde. Sa journée passe péniblement, elle fait son ménage avec moins d'assiduité que d’habitude. Chez Jacques LOTZ, elle est tendu. Il est rentré chez lui vers treize heure trente pour manger en la saluant, elle ne prend même pas la peine répondre. Il s’approche d’elle pour savoir si elle se sent bien, elle le transperce du regard. Elle a fort caractère, son regard n’était plus perdu, surement influencer par ces lectures et l’adrénaline. Il essaye de lui secouer le bras, elle lui ordonne d’arrêter son geste, prend ces affaires et s’en va. Son attitude montre qu’elle est sûre que c’est lui qui a écrit cette lettre. Elle finit sa journée chez Joshua… Elle sent étonnamment bien ici. Elle a les ravagés par les larme, Joshua semble inquiet pour elle et lui ordonne de prendre une pause et de venir se poser à côté de lui sur son fauteuil. Trop secouée pour lui tenir tête, elle obéit sans le moindre signe de résistance. Il lui fit un gros sourire pour mettre en confiance, lui demande ce qui c’est passé et lui précise qu’elle n’a pas à être gênée, qu’elle peut parler libre avec lui. Elizabeth, après un instant d’hésitation, lui raconte tout. Au fur et à mesure de son récit, il acquiesce silencieusement. Il la réconforte dans ces doutes, lui dit demande de ne plus aller chez M.LOTZ, et qu’au moindre problème elle peut venir ici, n’importe quand. Elle rougit faiblement et le remercie. Elle le lui dit chaleureusement au revoir, puis une fois dans la rue elle se raidit. Dans le métro, elle se sent mal à l’aise regarde le plus discrètement possible autours d’elle, on aurait jugé que quelqu’un l’observer. Elle ne tient plus en place au lieux de prendre la ligne 5 à gare d’Austerlitz, elle décide de marcher jusqu’à chez elle. Cette impression nouvelle d’être suivit, ne la quitte pas. Du métro, en remontant le Boulevard de l'Hôpital, et jusqu’à l’entrée de son immeuble. Elle se retourne brusquement pour vérifier si quelqu’un la suivait, mais comment pourrait-elle savoir qui la suivait à travers l’agitation parisienne. Elle rougit de honte en se rendant compte de l'inutilité de son geste.
Elle regarde dans sa boite au lettre: aucune nouvelle lettre. Elle rentre dans son appartement plonger dans le noir, prend une douche et vas se coucher la boule au ventre, sans prendre la peine manger.
Après une nuit aussi secoué que la veille, elle s’habille et sort en vitesse. Déterminé à mettre en termes à cette histoire. Pour réfléchire plus facilement , elle décide de se rendre comme hier à la gare d’Austerlitz à pied. Une ruelle attire son attention, habituellement elle aurait passer son chemin, mais là non. Elle ne veut pas fuire les problème mais les affronter. Elle regarde la ruelle avec un soupçon d’hésitation avant d’y pénétrer, il y a, à 2 ou 3 boutique plus loin, une agence immobilière appartenant à Jacques LOTZ… Elle dépasse une poubelle et se trouve nez-à-nez un mur. Elle pousse un soupire et se trouve ridicule. Une ombre sort furtivement de sa cachette, elle est imposante, se glisse aussi agilement qu’un chat vers Elizabeth, met une main sur sa bouche, tandis que l’autre se balader délicatement sur le corps de la jeune femme. Elle est sous le choc et n’ose bouger dans un premiers temps. La main se mit à être de plus en plus brute, d’un seul coup, Elizabeth se met à se débattre sauvagement. Surpris par l’élan d’énergie de sa victime, il la laisse lui mutiler les bras, il semble presque sourire. Il la lâche, sans même regarder le visage de l’agresseur, Elizebeth se met à courir jusqu’à chez elle.
Elle est désemparé, il est allé trop loin… Toutes sa détermination est partit… Chez elle, elle se sent observé, elle angoisse. Après deux bonne heure d’hésitation, elle se décide à se réfugier chez Joshua. Le trajet est long, plus de d’habitude pour Elizebeth.
Une fois devant sa porte, elle hésite. Elle frappe faiblement, aussitôt Joshua lui ouvre comme s’il savait qu’elle allait venir. Il lui fit un grand sourire et l’invite à rentrer. Il lui propose de s’installer sur le canapé, Elizebeth pleure, elle est à bout nerf. Joshua la prend dans ses bras, Elizabeth, gêné par la situation et les circonstances, lui prend le bras en guise de protestation. Il poussa un gémissement de douleur, intriguée, elle relève les manche de son
t shirt, et y découvre des marques de griffures toutes fraîches. Elle se lève et le regarde incrédule. L'expression du visage Joshua s’est métamorphosé, il a perdu son visage doux et accueillant et laisse place à un sourire malsain et dans ses yeux s’anime un poisson mort. Il l’attrape et l’embrasse, elle le frappe, l’insulte et se débat en vain. Joshua lasse la frappe au visage, elle se relève cours vers la porte d’entrée. Il lui tire dessus, si il peut l’avoir alors personne ne l’aura. Il retourne le canon vers lui tire une dernière balle qui transperce dans sa dernière pensé.