Bio
Mes respects chers visiteurs.
.
.
Je suis un authentique poète :
Aigri/misanthrope/rétrograde/moyenâgeux/bourru/grincheux/taciturne/acerbe
.
Vous êtes la lie de l'humanité.
.
Je suis Fake, merci de respecter mon choix
.
Quelqu'un m'a un jour dit sur internet que j'étais un facho, depuis je ne le suis plus.
.
.
ℹAinsi une présentation non-exhaustive de ce que j'apprécie :
ℹ observer tout ce qui se trouve autour de moi.
ℹHardboiled
ℹ certains jeux vidéo
ℹ Écrire
ℹ lecture.
ℹ j'aime également l'esthétique des parapluies et ombrelles.
Les nuages. ☁️
ℹ le fromage
ℹLes poires
ℹ L'histoire
ℹ Yamatototohimomosohime
ℹLes Cuisses
ℹOui
ℹles asiatiques miam
Une personne d'ici.
D'autres trucs
Pour ce qui est des choses que je n'aime pas eh bah il n'y a rien que je n'aime pas je n'ai juste pas d'intérêt ou une incompréhension logique avec elles
N'espère pas jouir, car ton plaisir
t'anéantirait. N'espère pas être
amoureux, car tu nen vaux pas
la peine ceux qui taimeraient
t'aimeraient pour tes mirages
jamais pour ta vérité. N'espère
pas que la vie t'apporte quoi
que ce soit, car chaque année
qui passera t'enlèvera quelque
chose. N'espère pas même une
chose aussi simple que le calme
car tu n'as aucune raison d'être
tranquille
###############################
Pour conclure cette bio je vais finir par une zone de vrac mélangeant citation et autres écrit m'ayant était agréable.
-Sachez que votre amour ne marchera pas car vous êtes amoureux d'une personne qui n'existe pas et que celle ci aime celle que vous voulez lui faire voir
-L'Humain, espèce maudite
Il peut, il sait, il cherche, il se sait vivant, comprend le monde et la vie. Il conceptualise projète ses idées et les partages, et malgré cela cette condition, ce poids le ronge
Il voit en lui-même ses propres erreurs, il voit sa propre fin, la fin de la vie de cette condition qu'il a toujours connue.
Il a des moments de joie qui toujours finissent par s'éteindre. Cette traversée d'un désert qu'il appelle la vie est un mirage, le savoir ne peux le quitter.
L'humain souffre et il souffrira encore et encore, c'est le prix à payer pour la conscience de soit, c'est le prix à payer de l'évolution.
-La solitude est une chose bien étrange. Elle vous envahit, tout doucement et sans faire de bruit, s'assoit à vos côtés dans le noir, vous caresse les cheveux pendant votre sommeil. Elle s'enroule autour de vous, vous serre si fort que vous pouvez à peine respirer, que vous n'entendez presque plus la pulsation du sang dans vos veines, tandis qu'elle file sur votre peau et effleure de ses lèvres le fin duvet de votre nuque. Elle s'installe dans votre coeur, s'allonge près de vous la nuit, dévore comme une sangsue la lumière dans le moindre recoin. C'est une compagne de chaque instant
-Votre monde est pétri de mensonges et de penchants pervers. Ma lame est une adorable sangsue qui se repaît de la traîtrise et en nourrit son maître. Cherchez ceux qui vous sont les plus proches. Le dernier soubresaut de leur petit coeur accompagnera ma lame dans le chant de votre grandeur
-Je suis devenu solitaire, ou, comme ils disent, insociable et misanthrope, parce que la plus sauvage solitude me paraît préférable à la société des méchants, qui ne se nourrit que de trahisons et de haine.
-Ce sera une histoire qui vient du coeur, peut-être bien un coeur imaginaire, vu que ces derniers temps je ne sais pas toujours où trouver le mien quand j’en ai besoin.
-Méfiez-vous de tout le monde et en particulier de ceux qui conseillent de vous méfier.
-si je porte des lunettes bite esque je vais avoir les yeux en face des trous
- La philosophie ne consiste-t-elle pas, après tout, à faire semblant d'ignorer ce que l'on sait et de savoir ce que l'on ignore ?
-Je suis persuadé que si un paon pouvait parler, il se vanterait d'avoir une âme, et il dirait que son âme est dans sa queue.
-Vous savez, quand on a l'impression que le monde est plus fort, que tout autour de nous avance à une autre vitesse, qu'on ne se sent plus à l'aise avec personne et qu'on a envie de ne penser à rien… vous voyez ce que je veux dire ?
-Notre monde n'a pas de sens. Pas plus que nous, qui y vivons. Quand nous, dont l'existence n'a aucun sens, imaginons le monde, c'est là que le fait même de savoir qu'il n'a pas de sens n'a aucun sens non plus.
-Que serait la vie même s’il n’y avait que des têtes et des queues, sans rien au milieu ?
-On n'est pas celui que l'on voit dans le
miroir. On est celui qui brille dans le
regard d'autrui.
-Penser c'est étre en rupture avec le monde
-On parle toujours mal quand on n'a rien à dire
-Combien le train du monde me semble lassant, insipide, banal et stérile
-L'argent est préférable à la pauvreté, ne serait-ce que pour des raisons financières.
-Ce n'est pas que j'ai peur de la mort, je veux juste ne pas être là quand ça arrivera.
-L'éternité, c'est long, surtout vers la fin.
-le changement comme si c'était une épreuve une preuve de la force et de résilience alors qu'il s'agit de la plus primordial des capacités humaines.
Je m'en vais vous mander la chose la plus étonnante, la plus surprenante,
la plus merveilleuse, la plus miraculeuse, la plus triomphante, la plus
étourdissante, la plus inouïe, la plus singulière, la plus extraordinaire, la plus
incroyable, la plus imprévue, la plus grande, la plus petite, la plus rare, la
plus commune, la plus éclatante, la plus secrète jusqu'à aujourd'hui, la plus
brillante, la plus digne d'envie; enfin une chose dont on ne trouve qu'un
exemple dans les siècles passés, encore cet exemple n'est-il pas juste ; une
chose que nous ne saurions croire à Paris, comment la pourrait-on croire
à Lyon ? une chose qui fait crier miséricorde à tout le monde ; une chose
qui comble de joie madame de Rohan et madame d'Hauterive; une chose
enfin qui se fera dimanche, où ceux qui la verront croiront avoir la berlue ;
une chose qui se fera dimanche, et qui ne sera peut-être pas faite lundi.
Je ne puis me résoudre à la dire, devinez-la, je vous le donne en trois ;
jetez-vous votre langue aux chiens ? Eh bien, il faut donc vous la dire :
M. de Lauzun épouse dimanche au Louvre, devinez qui ? Je vous le donne
en quatre, je vous le donne en dix, je vous le donne en cent. Madame de
Coulanges dit: Voilà qui est bien difficile à deviner ! c'est madame de
La Vallière. Point du tout, madame. C'est donc mademoiselle de Retz ?
Point du tout vous êtes bien provinciale. Ah ! vraiment nous sommes
bien bêtes, dites-vous ; c'est mademoiselle Colbert. Encore moins. C'est
assurément mademoiselle de Créqui. Vous n'y êtes pas. Il faut donc à la
fin vous le dire il épouse dimanche, au Louvre, avec la permission du
roi, mademoiselle, mademoiselle de... mademoiselle, devinez le nom : il
épouse Mademoiselle, ma foi ! par ma foi ! ma foi jurée ! Mademoiselle, la
grande Mademoiselle, Mademoiselle, fille de feu Monsieur, Mademoiselle,
petite-fille de Henri IV, mademoiselle d'Eu, mademoiselle de Dombes,
mademoiselle de Montpensier, mademoiselle d'Orléans, Mademoiselle,
cousine germaine du roi, Mademoiselle, destinée au trône, Mademoiselle,
le seul parti de France qui fût digne de Monsieur. Voilà un beau sujet de
discourir. Si vous criez, si vous êtes hors de vous-même, si vous dites que
nous avons menti, que cela est faux, qu'on se moque de vous, que voilà une
belle raillerie, que cela est bien fade à imaginer; si enfin vous nous dites
des injures, nous trouverons que vous avez raison ; nous en avons fait autant
que vous. Adieu
💦 Épitaphe de Béatrice 💦
Ma très chère ville natale, la rivière poissoneuse qui la traverse
Toi qui recherche le Pays Doré, remonte son lit et cherche la clé.
En descendant la rivière, tu trouveras un village.
Au village, cherche le rivage dont les deux te parleront.
Ici repose la clef du Pays Doré.
Celui qui met la main sur la clé doit obéir aux règles suivantes:
Au premier crépuscule, vous offrirez les six personnes élues par la clé en sacrifice;
Au deuxième crépuscule, ceux qui restent sépareront ceux qui sont proches;
Au troisième crépuscule, ceux qui restent loueront mon nom digne d'éloges;
Au quatrième crépuscule, creuse la tête et tue;
Au cinquième crépuscule, creuse la poitrine et tue;
Au sixième crépuscule, creuse l'estomac et tue;
Au septième crépuscule, creuse le genou et tue;
Au huitième crépuscule, creuse la jambe et tue;
Au neuvième crépuscule, la sorcière ressucitera et personne ne survivra;
Au dixième crépuscule, le voyage s'achèvera et on atteindra le Pays Doré.
La sorcière honorera les sages et accordera quatre trésors.
L'un sera tout l'or de la Terre Dorée.
L'un sera la résurrection des âmes de tous les morts.
L'un sera la résurrection de l'amour perdu.
L'un sera le sommeil éternel de la sorcière.
Dors paisiblement, ma sorcière bien aimée, Beatrice.
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
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Je suis un authentique poète :
Aigri/misanthrope/rétrograde/moyenâgeux/bourru/grincheux/taciturne/acerbe
.
Vous êtes la lie de l'humanité.
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Je suis Fake, merci de respecter mon choix
.
Quelqu'un m'a un jour dit sur internet que j'étais un facho, depuis je ne le suis plus.
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ℹAinsi une présentation non-exhaustive de ce que j'apprécie :
ℹ observer tout ce qui se trouve autour de moi.
ℹHardboiled
ℹ certains jeux vidéo
ℹ Écrire
ℹ lecture.
ℹ j'aime également l'esthétique des parapluies et ombrelles.
Les nuages. ☁️
ℹ le fromage
ℹLes poires
ℹ L'histoire
ℹ Yamatototohimomosohime
ℹLes Cuisses
ℹOui
ℹles asiatiques miam
Une personne d'ici.
D'autres trucs
Pour ce qui est des choses que je n'aime pas eh bah il n'y a rien que je n'aime pas je n'ai juste pas d'intérêt ou une incompréhension logique avec elles
N'espère pas jouir, car ton plaisir
t'anéantirait. N'espère pas être
amoureux, car tu nen vaux pas
la peine ceux qui taimeraient
t'aimeraient pour tes mirages
jamais pour ta vérité. N'espère
pas que la vie t'apporte quoi
que ce soit, car chaque année
qui passera t'enlèvera quelque
chose. N'espère pas même une
chose aussi simple que le calme
car tu n'as aucune raison d'être
tranquille
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Pour conclure cette bio je vais finir par une zone de vrac mélangeant citation et autres écrit m'ayant était agréable.
-Sachez que votre amour ne marchera pas car vous êtes amoureux d'une personne qui n'existe pas et que celle ci aime celle que vous voulez lui faire voir
-L'Humain, espèce maudite
Il peut, il sait, il cherche, il se sait vivant, comprend le monde et la vie. Il conceptualise projète ses idées et les partages, et malgré cela cette condition, ce poids le ronge
Il voit en lui-même ses propres erreurs, il voit sa propre fin, la fin de la vie de cette condition qu'il a toujours connue.
Il a des moments de joie qui toujours finissent par s'éteindre. Cette traversée d'un désert qu'il appelle la vie est un mirage, le savoir ne peux le quitter.
L'humain souffre et il souffrira encore et encore, c'est le prix à payer pour la conscience de soit, c'est le prix à payer de l'évolution.
-La solitude est une chose bien étrange. Elle vous envahit, tout doucement et sans faire de bruit, s'assoit à vos côtés dans le noir, vous caresse les cheveux pendant votre sommeil. Elle s'enroule autour de vous, vous serre si fort que vous pouvez à peine respirer, que vous n'entendez presque plus la pulsation du sang dans vos veines, tandis qu'elle file sur votre peau et effleure de ses lèvres le fin duvet de votre nuque. Elle s'installe dans votre coeur, s'allonge près de vous la nuit, dévore comme une sangsue la lumière dans le moindre recoin. C'est une compagne de chaque instant
-Votre monde est pétri de mensonges et de penchants pervers. Ma lame est une adorable sangsue qui se repaît de la traîtrise et en nourrit son maître. Cherchez ceux qui vous sont les plus proches. Le dernier soubresaut de leur petit coeur accompagnera ma lame dans le chant de votre grandeur
-Je suis devenu solitaire, ou, comme ils disent, insociable et misanthrope, parce que la plus sauvage solitude me paraît préférable à la société des méchants, qui ne se nourrit que de trahisons et de haine.
-Ce sera une histoire qui vient du coeur, peut-être bien un coeur imaginaire, vu que ces derniers temps je ne sais pas toujours où trouver le mien quand j’en ai besoin.
-Méfiez-vous de tout le monde et en particulier de ceux qui conseillent de vous méfier.
-si je porte des lunettes bite esque je vais avoir les yeux en face des trous
- La philosophie ne consiste-t-elle pas, après tout, à faire semblant d'ignorer ce que l'on sait et de savoir ce que l'on ignore ?
-Je suis persuadé que si un paon pouvait parler, il se vanterait d'avoir une âme, et il dirait que son âme est dans sa queue.
-Vous savez, quand on a l'impression que le monde est plus fort, que tout autour de nous avance à une autre vitesse, qu'on ne se sent plus à l'aise avec personne et qu'on a envie de ne penser à rien… vous voyez ce que je veux dire ?
-Notre monde n'a pas de sens. Pas plus que nous, qui y vivons. Quand nous, dont l'existence n'a aucun sens, imaginons le monde, c'est là que le fait même de savoir qu'il n'a pas de sens n'a aucun sens non plus.
-Que serait la vie même s’il n’y avait que des têtes et des queues, sans rien au milieu ?
-On n'est pas celui que l'on voit dans le
miroir. On est celui qui brille dans le
regard d'autrui.
-Penser c'est étre en rupture avec le monde
-On parle toujours mal quand on n'a rien à dire
-Combien le train du monde me semble lassant, insipide, banal et stérile
-L'argent est préférable à la pauvreté, ne serait-ce que pour des raisons financières.
-Ce n'est pas que j'ai peur de la mort, je veux juste ne pas être là quand ça arrivera.
-L'éternité, c'est long, surtout vers la fin.
-le changement comme si c'était une épreuve une preuve de la force et de résilience alors qu'il s'agit de la plus primordial des capacités humaines.
Je m'en vais vous mander la chose la plus étonnante, la plus surprenante,
la plus merveilleuse, la plus miraculeuse, la plus triomphante, la plus
étourdissante, la plus inouïe, la plus singulière, la plus extraordinaire, la plus
incroyable, la plus imprévue, la plus grande, la plus petite, la plus rare, la
plus commune, la plus éclatante, la plus secrète jusqu'à aujourd'hui, la plus
brillante, la plus digne d'envie; enfin une chose dont on ne trouve qu'un
exemple dans les siècles passés, encore cet exemple n'est-il pas juste ; une
chose que nous ne saurions croire à Paris, comment la pourrait-on croire
à Lyon ? une chose qui fait crier miséricorde à tout le monde ; une chose
qui comble de joie madame de Rohan et madame d'Hauterive; une chose
enfin qui se fera dimanche, où ceux qui la verront croiront avoir la berlue ;
une chose qui se fera dimanche, et qui ne sera peut-être pas faite lundi.
Je ne puis me résoudre à la dire, devinez-la, je vous le donne en trois ;
jetez-vous votre langue aux chiens ? Eh bien, il faut donc vous la dire :
M. de Lauzun épouse dimanche au Louvre, devinez qui ? Je vous le donne
en quatre, je vous le donne en dix, je vous le donne en cent. Madame de
Coulanges dit: Voilà qui est bien difficile à deviner ! c'est madame de
La Vallière. Point du tout, madame. C'est donc mademoiselle de Retz ?
Point du tout vous êtes bien provinciale. Ah ! vraiment nous sommes
bien bêtes, dites-vous ; c'est mademoiselle Colbert. Encore moins. C'est
assurément mademoiselle de Créqui. Vous n'y êtes pas. Il faut donc à la
fin vous le dire il épouse dimanche, au Louvre, avec la permission du
roi, mademoiselle, mademoiselle de... mademoiselle, devinez le nom : il
épouse Mademoiselle, ma foi ! par ma foi ! ma foi jurée ! Mademoiselle, la
grande Mademoiselle, Mademoiselle, fille de feu Monsieur, Mademoiselle,
petite-fille de Henri IV, mademoiselle d'Eu, mademoiselle de Dombes,
mademoiselle de Montpensier, mademoiselle d'Orléans, Mademoiselle,
cousine germaine du roi, Mademoiselle, destinée au trône, Mademoiselle,
le seul parti de France qui fût digne de Monsieur. Voilà un beau sujet de
discourir. Si vous criez, si vous êtes hors de vous-même, si vous dites que
nous avons menti, que cela est faux, qu'on se moque de vous, que voilà une
belle raillerie, que cela est bien fade à imaginer; si enfin vous nous dites
des injures, nous trouverons que vous avez raison ; nous en avons fait autant
que vous. Adieu
💦 Épitaphe de Béatrice 💦
Ma très chère ville natale, la rivière poissoneuse qui la traverse
Toi qui recherche le Pays Doré, remonte son lit et cherche la clé.
En descendant la rivière, tu trouveras un village.
Au village, cherche le rivage dont les deux te parleront.
Ici repose la clef du Pays Doré.
Celui qui met la main sur la clé doit obéir aux règles suivantes:
Au premier crépuscule, vous offrirez les six personnes élues par la clé en sacrifice;
Au deuxième crépuscule, ceux qui restent sépareront ceux qui sont proches;
Au troisième crépuscule, ceux qui restent loueront mon nom digne d'éloges;
Au quatrième crépuscule, creuse la tête et tue;
Au cinquième crépuscule, creuse la poitrine et tue;
Au sixième crépuscule, creuse l'estomac et tue;
Au septième crépuscule, creuse le genou et tue;
Au huitième crépuscule, creuse la jambe et tue;
Au neuvième crépuscule, la sorcière ressucitera et personne ne survivra;
Au dixième crépuscule, le voyage s'achèvera et on atteindra le Pays Doré.
La sorcière honorera les sages et accordera quatre trésors.
L'un sera tout l'or de la Terre Dorée.
L'un sera la résurrection des âmes de tous les morts.
L'un sera la résurrection de l'amour perdu.
L'un sera le sommeil éternel de la sorcière.
Dors paisiblement, ma sorcière bien aimée, Beatrice.
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
Habite
Philo, États-Unis
Ce qu'on pense de Nostradamus
Un peu plus de détails
Prénom | Marie-Josèphe ou Jean du Ruisseau |
---|---|
Genre | Bispirituel(le) |
Age | 23 ans |
Anniversaire | 18 mai (2001) |
Bahut | Unité shin (Autre) |
Situation amoureuse | Célibataire |
Orientation sexuelle | Hétérosexuel(le) |
Recherche sur skuat | Rien en particulier |
Social
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Snapchat | Visible que par les membres... |
TikTok | Visible que par les membres... |
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Dans la tête
Aime | Mon singe, il s'appelle Jugem Jugem lanceur de merde vie du slip de deux jours de Shin-chan Balmung Fezalion Isaac Schneider 1/3 Amour véritable 2/3 Anxiété rongeuse d'ongles La trahison connaît mon nom ou ignore-t-elle vraiment mes appels Calamar Chien de mer Flétan Truite Morue Chien de mer C'est un chien de mer différent je parle du Chien de mer Requin Kaluga Angler Ray Yûteimiyaôkimukô Pepepepepepepepepepepe Diarrhée fluide |
---|---|
Déteste | Qui suis je pour détester ? |
Phrase | Didiouuu. Jacckk !. Lancez moi, mais ne le dite pas a l'elfe. Malefoy draco Malefoy. Est ce que tous le monde me vois ? Est ce que tout le m'entend ? Qu'entendez vous par là ? Me souhaitez vous le bonjour ou constatez vous que c'est une bonne journée, que je le veuille ou non, ou encore que c'est une journée où il faut être bon ? Il est sûrement entrain de baiser des sangliers ou chasser des putes, a moins que ça ne soit l'inverse. Oh bah ça alors un piège.Au revoir, à la revoyure, bon voyage, arrivederci, sayonara, adieu, bon débarras, bon vent, que le diable t’emporte à 312 km, ne reviens pas, que je ne te revois plus, hasta la vista, tire toi et taille la route. |
Musique | L'hémorragie de tes désirs S'est éclipsée sous l'azur bleu dérisoire Du temps qui se passe Contre duquel on ne peut rien Être ou ne pas être Telle est la question sinusoïdale De l'anachorète Hypocondriaque Mais tu dis (mais tu dis) Que le bonheur est irréductible Et je dis (et il dit) Que ton espoir n'est pas si désespéré À condition d'analyser Que l'absolu ne doit pas être annihilé Par l'illusoire précarité de nos amours Destituées Et vice et versa Et vice et versa Il faut que tu arriveras À laminer tes rancœurs dialectiques Même si je suis con Vaincu que c'est très difficile Mais comme moi, dis-toi Qu'il est tellement plus mieux D'éradiquer les tentacules de la déréliction Et tout deviendra clair Mais tu dis (mais tu dis) Que le bonheur est irréductible Et je dis (et il dit) Que ton espoir n'est pas si désespéré À condition d'analyser Que l'absolu ne doit pas être annihilé Par l'illusoire précarité de nos amours Destituées Et vice et versa Et vice et versa D'où venons nous? Où allons nous? J'ignore de le savoir Mais ce que je n'ignore pas de le savoir C'est que le bonheur Est à deux doigts de tes pieds Et que la simplicité réside dans l'alcôve Bleue et jaune et mauve et insoupçonnée De nos rêveries Mauves et bleues et, et jaunes et pourpres Et paraboliques Et vice et versa Mais tu dis (mais tu dis) Que le bonheur est irréductible Et je dis (et il dit) Que ton espoir n'est pas si désespéré À condition d'analyser Que l'absolu ne doit pas être annihilé Par l'illusoire précarité de nos amours (destitu) Et qu'il ne faut pas cautionner L'irréalité Sous les aspérités absentes Et désenchantées (desti) De nos pensées iconoclastes Et désoxydées (des) Par nos désirs excommuniés De la fatalité Destituée Et vice et versa |
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