"Les p’tits malins t’harcèlent et ceux jusqu’à c’que tu craques
Tu traînes souvent tard seul pour éviter qu’on t’attrape
Tu sais très bien qu’ils t’attendront....... en résumé
Tu n’as jamais fumé mais tu connais le goût du goudron

Je te voyais rentrer le soir en trainant ton fardeau
Tu croisais ton désespoir dans le reflet d’une flaque d’eau
Le sentiment d’être invisible, d’être risible aux yeux du monde
Les douleurs les moins visibles sont souvent les plus profondes

Même si ta mère persévère, pour toi grandir sans père, c'est dur
Au fond ça sert c'est sûr, mais pas pour trouver ses repères
Tes yeux sont des trous noirs, personne ne te calcul
Comme un fantôme dans les couloirs, tu es de ceux qu’on bouscule"
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